Par son talent, le cinéaste aide parfois le spectateur à découvrir le réel. C’est surtout le cas des cinémas documentaires. Amoureux de ce genre de film ? Trois histoires vraies placées au top du monde du 7e art pourront plaire à des accros. Chacune des anecdotes apporte sa propre révélation. Par ailleurs, opter pour le cinéma comme « hobby » offre de véritables atouts. Vous pouvez en profiter au cinéma ou à la télévision.

"Divertimento" de Marie-Castille Mention-Schaar

Le parcours incroyable de la chef d'orchestre Zahia Ziouani et de sa formation : Divertimento (que France Télévisions permet d'applaudir dans Prodiges). Quand la passion et l'ambition de partager son amour pour la musique classique donne naissance à un orchestre. L'histoire mérite d'être racontée dans un film : Divertimento.

« Elephant » de Gus Van Sant : du chaos spécial à apprécier

Le film vise à aborder un sujet profond : le massacre de Colombine. En 1999, dans le Colorado, le peuple a vécu cette histoire vraie. Avant d’y parvenir, l’auteur relate une journée particulière dans un lycée américain. John, le fils d’un ivrogne, est convoqué par le proviseur pour ses retards fréquents.   Au même moment, Elias consacre son temps à photographier un jeune couple en promenade dans un parc.   Quant à Michelle, elle se démarque par sa timidité. C’est pourquoi elle s’attarde à sa leçon de sport.   Pour montrer leur mauvais appétit, des filles refoulent leurs repas aux toilettes durant le déjeuner.   Outre ces faits réalisés avec calme, tout autre plan se prépare pour Alex et Eric. Ils veulent monter un drame pour faire souffrir la population du lycée.   Dans son récit, Gus Van Sant refuse d’interpréter toutes ces scènes d’étudiants. Il se contente de les raconter de façon très naturelle. En revanche, à travers les actions de caméra et les musiques, le spectateur comprend tout. Pour le chef d’orchestre, il suffit de bien manipuler ces outils. La perception du mal dans la société devient alors plus facile pour le spectateur. Visitez aussi le site archimedia.fr.

« Elephant man » de David Lynch : peinture authentique de l’humanité

  Face aux blessés de la guerre, le professeur Frederick Treves exécute ses tâches opératoires. Cela ne l’empêche pas de rendre visite à l’Elephant Man. Il admire ce personnage hors du commun à la disposition de Bytes. D’ailleurs, cette créature a réveillé chez le chirurgien son attrait homosexuel. Il l’exprime également envers ses patients.   Malgré tout, Treves parvient à gagner la confiance du directeur de l’hôpital. Il s’est servi du savoir-faire éloquent de John Merrick pour éblouir tout le monde. Même les gens de la haute société britannique peuvent ainsi se nouer d’amitié avec le praticien.   Les fans éprouvent leur émoi devant le "prodiges finale" de cette production de David Lynch en 1980. Treves meurt en toute sérénité. Sa mission d’avoir pu aider ses contemporains à bannir la diversité sociale a été approuvée par sa mère.   Dans le film, l’auteur cherche à dévoiler une réalité. En effet, l’homme accorde peu de considération à un individu jugé hors-norme. Il s’agit même d’un « monstre » comme l’« Elephant man ». La société des personnes « normales » l’exclut à cause de la différence. Elles rejettent en outre les gens de centres d’intérêt opposés. À travers son récit, David Lynch présente alors un concert dramatique pour essayer de faire appel à la conscience humaine.  

« La liste de Schindler » : le prix d’un acte humain

  En 1993, Steven Spielberg tente de reconstruire une histoire vraie autour de la 2e Guerre mondiale. Avant la guerre, Oskar Schindler s’aventure souvent à Cracovie avec des dignitaires nazis. La prospérité de son usine d’émail, c’est sa principale préoccupation. Ainsi, il embauche au salaire bas un comptable juif de Varsovie : Itzhak Stern. Sans oublier le recueil des contacts potentiels pour s’enrichir davantage dans son activité louche.   Pendant la guerre, des formes d’injustice continuent de se manifester. Les Allemands s’entendent bien entre eux, comme le cas des deux gradés Herr Direktor et Amon Göth. Par contre, ce dernier ne témoigne d’aucune pitié à l’égard des prisonniers. Surtout en sa mauvaise humeur, ces pauvres humains souffrent beaucoup. Depuis l’usine, Schindler voit et supporte peu toutes ces scènes affreuses. Alors, après sa négociation avec le lieutenant sanguinaire, des employés sont sauvés.   Fini le règne de Göth et des escrocs, criminels, profiteurs, etc. après la guerre. Des milliers de Juifs retrouvent la liberté. En signe de reconnaissance, ils offrent à Schindler, leur sauveur, une attestation de sa bonne conduite. À cela s’ajoute une bague en or marquée en leur langue. Schindler doit quitter l’endroit par peur des Soviétiques. En Pologne actuelle, les descendants de ces survivants juifs constituent la liste de Schindler.   À travers ses mises en scène, l’auteur fait découvrir une prise de conscience. Le prodige final dépend des actes de l’homme au moment présent. Il faut toujours s’en soucier. La vie réserve un beau cadeau à une bonne action. De même, elle offre à la méchanceté une mauvaise prime.  

Pourquoi se distraire dans le cinéma ?

  Pour échapper au quotidien, certains choisissent le cinéma. En effet, le grand écran procure de la joie. Cette sensation particulière se vérifie surtout chez les personnes âgées. Rester au lit ou dans le fauteuil entraine souvent des ennuis. Elles retrouvent leur force et le sens de la vie dans leurs rencontres avec des amis. Leurs débats bien animés autour d’un film actualisent leurs mémoires.   Le plaisir des cinémas atteint en outre tous les âges. Il est indispensable d’optimiser son temps libre par des thématiques, des jeux d’acteurs, des genres… adaptés à sa passion. Des échanges après une séance de visionnement permettent de plus d’enrichir la culture.   À savoir, deux générations différentes peuvent partager le même bonheur en face d’un beau film. Cela explique la joie des grands-parents accompagnés de leurs petits-enfants au cinéma.